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extrême gauche - Page 2

  • La tombe de l’Abbé Jean-Marie Perrot profanée par les staliniens en Bretagne .

     

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    Depuis quelque mois, la vermine rouge relève la tête. Même si le nettoyage de printemps de Montpellier a été une réussite, même si d’autres opérations de salubrité publique ont eu lieu à Lille, Toulouse, Strasbourg, Dijon, Chambéry…, quoi qu’en dise l’ami Robert B., on ne peut pas être partout. Ce que l’autre ami Robert B. – dans un autre registre – confirme.

    La presse identitaire bretonne, confirmée par l’Observatoire de la christianophobie, montre que les blattes rouges sont toujours aussi lâches… Pendant le week-end pascal, en deux étapes, la tombe de l’Abbé Jean-Marie Perrot, mort martyr assassiné par les communistes le 12 décembre 1943, a été détruite par l’extrême-gauche, celle-là même qui localement collabore avec les colons et les islamistes et que les patriotes bretons surveillent de très près.

    Le journal catholique breton Ar Gedour (la sentinelle), narre les faits dans son édition du 3 avril :

    « L’abbé Yann-Vari Perrot, que l’on ne présente plus à nos lecteurs d’Ar Gedour, est enterré auprès de la chapelle de Notre-Dame de Koat-Keo à Scrignac (diocèse de Quimper et Léon) : chapelle classée Monument Historique qu’il a rebâtie avec l’aide de James Bouillé et de bien d’autres.

    En ce week-end pascal, sa tombe vient d’être dégradée, et disons le mot, profanée. Selon les inscriptions découvertes, la profanation revêt un caractère politique et vise particulièrement des groupes politisés. 

    En effet, les dégradations coïncident avec la venue de groupes catholiques bretons pour commémorer sa mémoire, à l’occasion d’une journée organisée chaque année par l’Unvaniezh Koat Keo le lundi de Pâques, célébrant à la fois l’anniversaire de la mort de l’abbé (12 décembre 1943) et les Pâques sanglantes irlandaises de 1916. Une messe est organisée chaque année dans ce cadre et à cette occasion les catholiques bretonnants viennent se recueillir sur la tombe de l’abbé Perrot. Depuis plusieurs années, outre les catholiques, des militants politiques se greffent au rassemblement. Leurs opposants semblent désormais déterminés à user de tous les moyens pour arriver à l’affrontement, l’abbé devenant en quelque sorte “dégât collatéral” de dissensions et d’oppositions dont sa figure n’avait certainement pas besoin.Ce matin donc, les riverains et personnes présentes sur le site de la chapelle de Koat-Keo n’ont pu que constater les dégâts. Les gendarmes étaient déjà sur place pour les constatations d’usage et la sécurisation des lieux. La croix celtique qui surplombait le tertre a été mise à terre puis taguée “Facho er maez” que l’on traduirait “facho dehors”. Sur le montant de l’autel extérieur, la mention FTP surmontée d’une triple flèche, symbole utilisé par tout opposant au nazisme, mais qui trouve ses racines notamment chez Serge Tchakhotine, marxiste-réformiste russe qui en a revendiqué la paternité. Il faut savoir que l’orientation des flèches allaient initialement d’en haut à droite frappant en bas à gauche, démontrait par la symbolique qu’un pouvoir supérieur au nazisme, plus organisé, plus discipliné, pouvait l’anéantir. Les trois flèches constituent donc un symbole guerrier marquant un combat frontal et violent, loin de l’image pacifiste du réformisme. Ici, ce tag a été inversé et la mention FTP signe clairement l’acte, puisque l’assassin de l’abbé s’est revendiqué des FTP (Francs-tireurs partisans)… tout en étant payé 10 000 francs de l’époque pour sa basse œuvre. Une phrase délavée par la pluie de la nuit avait été écrite sur les deux marches d’accès. Il semblerait que cela corresponde à la phrase suivante : “Pas de repos pour les merdes nazies”, d’après ce que nous avons pu en voir. Plus loin, sur l’abri des chasseurs, nous apercevons un autre slogan “Ar Menez Are enep faskour” (Les monts d’Arrée contre les fachos) et quelques autres. Selon nos sources, l’action se serait passée en deux temps : samedi matin, la croix était déjà abattue, mais les tags n’étaient pas présents. Le maire s’était rendu sur place pour apprécier les dégâts. Ce lundi, l’élu a de nouveau été appelé pour constater les nombreux tags sur la tombe, mais aussi sur la chapelle et sur une maison qui sert de relais de chasse située derrière l’édifice religieux. Cette construction est une propriété privée sans rapport avec la chapelle où l’abbé. Les propriétaires vont être prévenus de l’atteinte à leur bien.

    Mais cette profanation n’est pas le fruit du hasard et correspond parfaitement à la date de l’événement qui a lieu chaque année et avait été relayé sur les réseaux sociaux et sites internet divers […] Deux plaintes seront déposées à la gendarmerie de Carhaix, l’une au nom de la paroisse et l’autre au nom des propriétaires de la tombe de l’abbé Yann-Vari Perrot. La tombe quant à elle sera restaurée, comme nous l’a confirmé le propriétaire de la tombe […] »

    Le journal dissident breton Breizh Atao accuse nommément un membre de la NPA d’être à l’origine de cette profanation dès le 2 avril :

    « L’Abbé Perrot, qui s’est engagé toute sa vie pour la défense de la langue bretonne, a toujours été respecté par les militants bretons, y compris ceux qui se situent à gauche. Cette action porte un nom : Gaël Roblin. ». Le 4 avril, il donne des éléments nouveaux : « La profanation de la tombe de l’Abbé Perrot, défenseur de la cause nationale bretonne assassiné par les égorgeurs communistes en 1943, est venue nous rappeler cette vérité : l’ennemi est un et indivisible, c’est la gauche d’importation française. Et elle doit s’attendre à déguster. Tout d’abord, nous avons retrouvé, derrière cet acte, la bande de marginaux et de camés gravitant autour de l’élément infiltré Gaël Roblin. 

    De manière caractéristique, l’intéressé se trouvait à Lorient pour agiter l’opinion en faveur de l’organisation communiste et terroriste kurde du PKK et de son faux-nez syrien du YPG.  C’est sur le retour de la bande que la profanation a eu lieu.

    Celui qui a, seul, détruit la gauche indépendantiste bretonne à la fin des années 90, bénéficie de la plus grande bienveillance de la part du système politique et médiatique actuel. Il ne se passe pas une semaine sans que cet agent ne soit opportunément mis en avant par la presse d’état.

    Nous sommes familiers de la rhétorique des tenants séniles du communisme. Inutile de revenir extensivement sur les actions de ces bienfaiteurs de l’humanité. Il nous suffira de citer les exploits des FTP qui, à Scaër en 1944, torturèrent, violèrent collectivement et exécutèrent des jeunes femmes innocentes de tout crime. Raffinement dans la sauvagerie : les héros du prolétariat enterrèrent leurs victimes encore vivantes. Ces actes de barbarie, goutte d’eau dans l’océan communiste, furent finalement admis sous la pression 73 ans plus tard par les reliquats d’un Parti Communiste Français honteux.  De ces hauts faits, les rouges semblent ne jamais se souvenir. On trouvera en vain un seul écrit de Françoise Morvan revenant sur ces crimes. Ce sont donc ces égorgeurs et violeurs de gamines FTP dont se revendiquent très explicitement les profanateurs de ce week-end. Cela vaut tous les actes d’accusation : la vermine marxiste ne change pas (…) Dans l’immédiat, les nationalistes doivent réagir à la profanation de ce week-end et faire de cette souillure le point de départ de la riposte. Les rouges exagèrent de beaucoup leur poids. Ils vont en faire l’expérience. »

    Hristo XIEP

     

  • Le bilan déjà catastrophique de Macron .

     

    DEPUIS SON ÉLECTION les gazettes et la "médiacratie" ne reculent devant aucun dithyrambe pour qualifier l’action et les premiers pas du président Macron! ...

    Que l’homme ait fait jusque-là preuve d’habileté, qu’il se montre pour le moment supérieur à ses immédiats prédécesseurs Hollande et Sarkozy dans la gestion de son image et de ses discours, dans ses relations avec la presse voire dans l’utilisation des media audiovisuels, cela ne fait guère de doute.

    Pour autant, si l’on ne s’arrête pas aux apparences et que l’on essaye d’aller au fond des choses, on ne voit pas en quoi la politique que mène le nouveau chef de l’Etat est différente sur l’essentiel de celle conduite ces dernières décennies.

    Comme ses prédécesseurs, Macron est européiste, mondialiste, cosmopolite, sioniste, libéral et libertaire.

    Il n’est que d’analyser sa politique d’immigration pour s’en persuader. Dans son discours à Calais, il feint une certaine fermeté en disant que la France ne peut plus accepter la constitution de nouvelles jungles mais en même temps il insiste sur sa politique d’humanité, défend le principe du droit d’asile (qui n’est d’ailleurs pas un droit, mais une coutume et qui fonctionne aujourd’hui comme un prétexte pour nous envahir, nous submerger et nous remplacer) et annonce des sanctions plus sévères et plus rapides contre les policiers qui manqueraient d’égards envers les migrants.

    Ce qui est un comble : il faut veiller à protéger par des mesures exceptionnelles des personnes qui se trouvent dans notre pays en situation irrégulière, qui sont donc des délinquants et qui de surcroît troublent l’ordre public avec la constitution de jungles, lieux de tous les trafics et qui font vivre aux riverains un véritable enfer.

    On parle beaucoup de Calais qui est bien sûr un cas emblématique mais c’est partout en France que l’on loge des migrants, souvent dans des lieux superbes. Ainsi à Nantes le magnifique château du Tertre a été réquisitionné fin novembre par l’extrême gauche, après l’occupation de l’ancienne école des Beaux-Arts, pour loger des migrants en situation illégale. A quelques centaines de mètres de là, l’extrême gauche a également réquisitionné dix salles de cours de la faculté pour loger des migrants. Et l’université de Nantes s’est engagée à payer à partir de février 2018 le CROUS pour ces migrants. Comme le remarquait courageusement un jeune étudiant indigné dans une vidéo qui circule sur les réseaux sociaux : « Quand on est étudiant et lorsqu’on décide d’être logé par le CROUS, il faut débourser 350 euros pour treize mètres carrés, on se tue à la tâche pour financer nos études et dans le même temps on loge gratuitement des personnes en situation illégale. Comment peut-on accorder des droits à des personnes violant la loi française ? Allez expliquer aux étudiants qui triment tous les soirs pour se loger, pour financer leurs études qu’à côté de cela il y a des personnes qui sont logées aux frais du contribuable alors qu’elles sont en situation illégale. »

     

    LEUR RÉGIME qui est le règne du désordre, de la chienlit et du chaos promeut, encourage toutes les illégalités !

    Sauf bien sûr quand il s’agit des automobilistes, souffre-douleur de l’Etat, ou lorsque l’on défend publiquement des vérités interdites, en histoire, en politique, etc. La décision des pouvoirs publics de renoncer à la construction de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, quel que soit ce que l’on pense par ailleurs de l’opportunité ou non de ce projet vieux de cinquante ans et qui déchaîne les passions, peut également s’analyser comme une victoire des zadistes qui se sont réjouis ouvertement de l’abandon du projet. Encore une fois, comme dans le cas des migrants, on cède à l’extrême gauche. Voilà que depuis des années des militants d’extrême gauche occupent en toute illégalité des terres agricoles, bloquant des routes départementales, se croyant tout permis, et non seulement on ne les a pas expulsés jusque-là mais on cède à leurs revendications. 

    Imagine-t-on qu’un groupe dit d’extrême droite investisse des lieux laissés à l’abandon, interdise l’accès à certaines routes, s’installe et vive en communauté et refuse catégoriquement de partir, le tollé serait général et les forces de l’ordre ne tarderaient pas à déloger manu militari les occupants à la demande expresse des pouvoirs publics qui se feraient fort de refuser que des « milices fascistes » fassent la loi dans le pays.

    Mais quand il s’agit de l’extrême gauche, qui ne répugne pas à la violence — car il n’est que les imbéciles pour croire que la gauche est par essence pacifique et non violente, rappelons d’ailleurs qu’en France toutes les guerres au XXe siècle ont été déclarées par des gouvernements et des majorités de gauche, de la Première Guerre mondiale en 1914 à la guerre du Golfe en 1991 ! —, tout à coup les pouvoirs publics se montrent d’une faiblesse qui confine à la complicité active. 

     

    NON SEULEMENT cette décision est objectivement une victoire des zadistes mais elle s’assoit cyniquement sur le résultat pourtant très clair d’un référendum. Les habitants de Loire-Atlantique consultés par voie référendaire et qui étaient les premiers concernés par ce projet d’aéroport s’étaient majoritairement déclarés en sa faveur. Or, on n’en tient aucun compte. Pire, on fait le contraire de ce qu’ils souhaitaient en majorité.

    Curieuse conception de la démocratie et du respect du suffrage universel de la part de gens n’ayant que le mot de démocratie à la bouche et donnant des leçons au monde entier, se permettant de contester avec condescendance les résultats d’élections à l’international, notamment en Russie !

    Comme pour le “non” pourtant massif des Français à la constitution européenne le 29 mai 2005, et qui a été totalement bafoué, puisque Sarkozy a fait voter en 2008 par le Parlement le traité de Lisbonne qui reprenait les principales dispositions du traité constitutionnel rejeté par nos compatriotes, on fait exactement le contraire de ce que la majorité des électeurs souhaitait. Si c’était pour agir de la sorte, il eût mieux valu ne pas organiser de référendum. 

    Que d’argent et d’énergie dépensés pour rien, non seulement pour l’organisation de la consultation référendaire, finalement tournée en dérision, mais surtout pour l’indemnisation qui s’annonce colossale du groupe Vinci qui était chargé de la construction du nouvel aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Une somme faramineuse qui sera payée par les contribuables alors même que le pays croule sous la dette et les déficits. Leur République est vraiment le règne de la gabegie et de l’irresponsabilité. On jette l’argent public par les fenêtres, pas celui des politiciens, rassurez-vous, mais celui de la nation. 

    Car de deux choses l’une : ou bien le projet était mauvais dès le départ et il ne fallait pas alors s’engager auprès de Vinci, et se laisser aller à tant de dépenses qui sont totalement perdues aujourd’hui, soit le projet était viable (et a priori  il semble, à en croire la nette majorité des habitants et des élus locaux qui sont favorables à ce projet depuis longtemps, qu’il l’était), et dans ce cas il fallait tenir ses engagements, expulser les zadistes, respecter les résultats du référendum et construire l’aéroport. 

     

    AU NOM d’une conception fondamentaliste et arriérée de l’écologie, il ne faudrait plus aujourd’hui construire de routes et d’autoroutes, ni de voies ferrées ni de TGV ni d’aéroports, cela confine au grotesque et porte atteinte à l’intérêt national, au bien commun. Dans la même logique, au nom de la souffrance animale, subitement il ne faudrait plus manger de viande, refuser de déguster du foie gras et de chasser, ce que nos aïeux ont pourtant fait sans problème de conscience pendant des siècles, et se nourrir seulement d’herbes comme de vulgaires ruminants ! Si certains frémissent d’horreur à l’idée de manger un gigot, un chapon ou un chevreuil (ils ne savent pas ce qu’ils manquent, les malheureux !), grand bien leur fasse, mais qu’ils ne culpabilisent pas les autres et qu’ils nous laissent en paix. On doit déjà faire face à la multiplicité des boucheries halal où l’on ne vend pas de porc, de grâce, que l’on n’achève pas de détruire nos délicieuses traditions culinaires au nom de grands principes éminemment contestables.

    D’autant qu’en général ceux qui défaillent devant le gavage des oies sont totalement indifférents au sort des millions de bébés à naître avortés, démembrés, jetés à la poubelle et à celui des vieillards euthanasiés dans le silence des hôpitaux de la mort. 

     

    Notre monde marche vraiment sur la tête et il ne faut pas compter sur Macron, l’homme de la bien-pensance et du conformisme dans tous les domaines, pour le remettre à l’endroit !

     

     

  • L’Union européiste face à la gangrène islamiste ...

     

     

    Le 22 mars, à l’occasion (bien choisie) de la commémoration des attentats islamistes de Bruxelles, au moment où, à Londres, Khalid Massoud alias Adrian Russell Ajao, un “Anglais” âgé de 52 ans, né dans le comté de Kent, écrabouillait sur un trottoir du pont de Westminster des passant innocents, le commissaire européen à la sécurité, Julian King, s’inquiétait de la montée du terrorisme… d’extrême droite ! Menace imminente contre laquelle il conviendrait de concentrer en priorité tous les efforts gouvernementaux. Prenant pour exemple « le meurtre brutal d’un membre du Parlement britannique, Jo Cox en juin 2016 » ou encore « le massacre perpétré par Anders Breivik en juillet 2011 », l’extra-lucide commissaire politique en est arrivé à penser « qu’aucun État membre n’est épargné par l’extrémisme violent de droite… L’an dernier, nous avons été notamment témoins d’un nombre très élevé d’attentats contre des mosquées et des centres d’accueil » en déduisant logiquement que la radicalisation de certains musulmans ne serait en fait que la réponse (normale, en tout cas implicitement compréhensible) à ces actes odieux. CQFD !

    On jugera à l’aune des propos de ce prébendier bruxellois, la déclaration, ce 27 mars 2017 à Singapour lors d’une Conférence relative à la situation internationale, du pantin élyséen qui s’est donné pour ultime mission « avant la fin de son mandat d’éviter que le populisme, le nationalisme, l’extrémisme ne puissent l’emporter, y compris dans mon propre pays ». Vaste programme à la juste mesure d’un personnage qui restera dans l’histoire pour sa totale absence d’esprit partisan.

    Comprenons qu’avec des émoluments de base s’élevant à quelque 25 000 euros mensuels, les commissaires du soviet de Bruxelles se doivent de débiter avec conviction leurs balivernes politiquement correctes et idéologiquement terroristes. Affligé d’un terrible strabisme divergent, ces vrais nantis du système ne dénoncent jamais les bandes de nervis antifas, no-borders, zadistes, blackblocks et compagnie que le pouvoir socialiste utilise extensivement pour faire interdire de parole les oppositions au motif de trouble à l’ordre public.

    Ces mêmes terroristes qui se déguisent en paysans pour mieux couvrir leurs activités de passeurs (de trafiquants d’êtres humains) au service — ils ne peuvent l’ignorer — d’un vil capitalisme prospérant grâce à une main d’œuvre sans droit ni exigence.

    Les débordements de l’extrême gauche sont, eux, bien réels, bien visibles et coûtent chers à la collectivité : pensons au centre de Nantes dévasté le 25 février par 800 casseurs d’extrême gauche ! Précisons que les forces de police ne peuvent intervenir que dans le cadre strict des instructions qui leur sont données. Des émeutiers qui, très curieusement, ne sont jamais dénoncés pour ce qu’ils sont et ne soulèvent aucune inquiétude du côté des pouvoirs publics. Au contraire, les unités de maintien de l’ordre doivent se tenir à carreau, ménager la racaille bien-pensante, sinon gare aux sanctions disciplinaires et aux tribunaux chargés de rappeler aux agents trop zélés tout le respect qu’ils doivent aux milices idéologiques et ultra-violentes du régime.

     

    Massoud Ajao « ne faisait [bien entendu] l’objet d’aucune enquête en cours, n’ayant jamais été condamné pour des délits liés au terrorisme » bien qu’il ait été poursuivi à plusieurs reprises entre autres, pour « possession d’armes » et agressions accompagnées de blessures graves. Une première fois condamné en novembre 1983 et la dernière en décembre 2003 pour détention d’arme, Russel Ajao Massoud ne figurait cependant pas sur la liste du MI5 parmi les trois mille suspects “susceptibles” de commettre un acte terroriste. C’est au demeurant Daech qui a revendiqué l’attentat de Londres, une première sur le sol anglais : « l’auteur de l’attaque en face du Parlement britannique à Londres est un soldat de l’ÉI et l’opération a été menée en réponse à l’appel enjoignant à frapper les pays de la coalition [arabo-occidentale en Irak et en Syrie] ». Bilan : quatre morts et une cinquantaine de blessés. À bon entendeur salut, nul n’est donc plus à l’abri, pas même la Suisse dont les frontières sont des passoires à l’intérieur de l’espace Schengen. Le maire de Londres, Sadiq Khan, avec un fatalisme tout musulman, l’a bien compris, se montrant déjà résigné au pire : « la menace d’attaques terroristes fait partie intégrante de la vie d’une grande ville ». En clair le terrorisme est désormais une composante structurelle des sociétés anarcho-libérales-libertaires dont il faudra bien s’accommoder, bon gré mal gré.

    D’ailleurs soyons très indulgents pour nos Services de sécurité intérieure. Ceux-ci doivent agir dans l’étroit cadre de l’État de droit et laisser courir les criminels tant qu’il n’y a pas eu «commencement de commission» comme en dispose le droit pénal. Et ils ont du pain sur la planche. Plus qu’il n’en faut. Les Anglais du MI5, tout comme leurs homologues français de la DGSI, ne peuvent être à la fois au four et au moulin. En France, le 24 novembre 2015, le Premier ministre, Manuel Valls, n’annonçait-il pas que 20.000 personnes faisaient l’objet d’une fiche S dont 10 500 pour leur appartenance ou leurs liens supposés avec la mouvance islamiste ? 16 000 en 2016 et 4 000 pour la seule Île-de-France. La croissance des radicalisés est forte, notamment chez les nouveaux convertis, 1954 mineurs étant signalés comme ayant passé la ligne à la fin de l’été 2016. À ce titre, on recensait 17 adolescents morts sous la bannière noire de Daech sur les fronts d’Irak et de Syrie, tandis que 37 Hexagonaux étaient mis en examen dans le cadre de procédures directement liées à la préparation d’actes de terrorisme. Enfin, l’on découvre que les jeunes femmes et les filles sont à présent plus nombreuses que les hommes à entrer dans la spirale du fanatisme comme en témoigne un article du 15 septembre 2016 sur lefigaro.fr.

    Notons en outre que 600 “signalements” avaient été effectués au cours d’un laps de temps allant de l’automne 2015 au printemps 2016 dans les établissements de l’Éducation nationale. Un chiffre impressionnant au regard de la dangerosité potentielle des sujets. Mais beaucoup moins que la montée du populisme nous diraient de concert messieurs Cazeneuve et Hollande ! ...